Les chantiers de construction sont des lieux où les chutes de débris, la manipulation de substances toxiques ou les opérations à haute altitude sont monnaie courante. Cela expose les artisans du BTP à tous types de dangers. C’est pourquoi ils doivent être équipés de sorte à limiter au maximum les risques d’incidents. Dans cet article, nous vous présentons 10 équipements garantissant votre sécurité sur un chantier de construction.

Les équipements indispensables sur le chantier

Il s’agit d’équipements standards exigés sur les chantiers de travail. Ils protègent toutes les zones sensibles du corps et limitent les risques de blessures en cas d’incident. Il s’agit du casque, des gants, des lunettes et chaussures de protection, du casque antibruit et des vêtements à haute visibilité.

Le casque

Il est impossible de prendre part aux activités d’un chantier sans casque. Équipement à l’apparence rudimentaire, il vous protège des impacts causés par des chutes de débris ou d’autres matériaux. Il est également très utile pour limiter les dégâts en cas de collision ou d’incidents.

L’utilisation du casque n’est pas réservée aux ouvriers. Elle est indispensable pour toute personne, travailleuse ou non, présente sur le chantier. Considérant l’omniprésence du facteur risque, ce degré de précaution est largement compréhensible.

Les gants

Les ouvriers sont amenés à manipuler tous types d’objets dans le cadre de leurs activités. Cela inclut des matériaux susceptibles de les blesser à la moindre erreur. Ainsi, pour une exploitation optimale des outils mis à disposition, ils doivent trouver une contre-mesure. C’est là qu’interviennent les gants.

Ce sont des équipements disponibles sur Security Shop notamment, ils sont utilisés pour protéger vos mains contre les coupures. En général, ils sont fabriqués avec du caoutchouc et d’autres composantes similaires. Cela les rend parfaitement isolantes et limite donc les risques liés à l’électricité. Notons également qu’en hiver, les gants réchauffent les doigts des ouvriers et leur permettent de conserver leur dextérité.

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Les lunettes de protection

Les yeux sont l’une des zones les plus sensibles du corps humain. En effet, il suffit d’une simple éraflure sur la pupille pour définitivement perdre la vue. Cela rend très inquiétante la situation des ouvriers professionnels qui sont constamment exposés à un tel danger. C’est pourquoi les lunettes de protection ont été incluses dans les Équipements de Protection Individuelle.

Il s’agit de lunettes spéciales utilisées pour protéger vos yeux sur le chantier. Les verres sont fabriqués à partir d’un matériau transparent et très résistant. Ils sont ensuite placés sur une monture suffisamment solide pour résister aux chocs. Nous vous conseillons d’opter pour un modèle réalisé sur mesure ou de réajuster la paire mise à votre disposition.

Le casque antibruit

Le casque antibruit vous permet de supporter des bruits excédant largement la résistance de vos tympans. Il est donc parfait pour les ouvriers se servant d’un marteau piqueur, d’une tronçonneuse ou de tout autre appareil réputé pour le bruit qu’il génère. Il fait partie des EPI indispensables sur les chantiers de construction. L’objectif est d’éviter les risques de lésions auditives normalement encourus par les ouvriers.

Les chaussures à embout d’acier

Les chantiers de travail sont souvent comparés à des champs de mines. C’est probablement dû au nombre impressionnant d’objets dangereux traînant constamment sur le sol. Nous faisons notamment allusion aux équipements mal rangés, aux résidus de matériaux, aux débris en bois ou en métal, etc. Les chaussures classiques sont incapables de résister à de tels dangers. C’est pourquoi il est primordial de s’équiper de chaussures à embout d’acier.

Ce sont des baskets renforcées avec un alliage en acier au niveau de l’embout et de la semelle. Elles garantissent la sécurité de vos pieds sans limiter vos facultés de déplacement. Certes, elles ne sont pas réputées pour leur confort. Mais il est crucial d’en faire usage.

Les vêtements à haute visibilité

Ce sont des vêtements conçus à base de matières fluorescentes et de bandes rétro-réfléchissantes. Grâce à leur composition atypique, ils sont capables de générer une lumière parfaitement distinguable en pleine journée. Les vêtements à haute visibilité sont également en mesure de réfléchir la lumière en soirée.

Le port de ces vêtements a pour but de permettre aux utilisateurs de machines d’identifier aisément les ouvriers en journée comme en soirée. Cela réduit les risques d’accident et rend le travail bien plus fluide.

Les équipements de protection collective

Les équipements de protection collective limitent les risques d’incidents en général. Ils servent à sécuriser les infrastructures du chantier et contribuent indirectement à la protection des ouvriers. Il s’agit notamment des diverses barrières utilisées sur le chantier, des protections antichute, des revêtements appliqués au sol et des panneaux et autres dispositifs de signalisation.

Les barrières

Les barrières sont des outils utilisés pour faciliter l’usage des machines sur le chantier. Elles se déclinent en deux catégories : les barrières de circulation et les barrières d’impact.

Les barrières de circulation permettent de séparer les itinéraires utilisés par les ouvriers piétons et ceux empruntés par les ouvriers conduisant des machines. Il est alors possible de réduire les risques de collision durant le déroulement des activités.

Les barrières d’impact servent quant à elles à limiter au maximum les dégâts en cas de collision entre une machine et une autre surface. Elles sont installées au niveau des rayons servant à l’entrepôt du matériel.

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Les protections antichute

Les protections antichute sont des systèmes mis en place pour protéger les ouvriers travaillant à haute altitude. Nous en distinguons deux grandes catégories.

D’un côté, nous avons les équipements utilisés pour empêcher la chute. En cas de perte d’équilibre de l’ouvrier, ils lui permettent de ne pas tomber. Il s’agit par exemple des harnais de sécurité accrochés en permanence à leur combinaison.

De l’autre, nous avons les dispositifs servant à limiter les dégâts engendrés par la chute. Ils permettent de rattraper l’ouvrier avant qu’il ne s’écrase au sol. Il s’agit notamment des filets en grandes nappes et sur consoles.

Les protections antichute sont obligatoires sur les chantiers nécessitant des travaux à plus de 3 m du sol. En outre, leur installation ne vous dispense nullement de l’utilisation des Équipements de Protection Individuelle.

Le revêtement de sol

C’est un dispositif appliqué sur le sol du chantier avant le début des activités. Grâce à ses propriétés antidérapantes, le revêtement de sol réduit les risques de glissade ou de faux pas. Il est également capable d’absorber une partie de l’impact en cas de chute. Cela réduit considérablement la sensation de douleur.

Vous devez opter pour un revêtement de sol parfaitement adapté aux besoins du chantier. Par exemple, un revêtement trop fin a de fortes chances de céder s’il doit supporter le poids des machines de façon quotidienne. A contrario, appliquer un revêtement trop épais sur un chantier sans machines serait synonyme de gaspillage. Il faut donc choisir après analyse de différents facteurs.

Les panneaux et dispositifs de signalisation

L’ordre et la discipline sont primordiaux sur un chantier de travail. Mais, une fois immergés dans leurs tâches, les ouvriers ont tendance à oublier les instructions. C’est pourquoi nous conseillons l’utilisation de dispositifs de signalisation.

Ce sont des panneaux apportant toutes les informations relatives à la sécurité des ouvriers sur le chantier. Cela inclut le plan d’évacuation du chantier, les instructions en cas d’accident ou de malaise, les zones interdites d’accès au personnel non habilité, etc.

Les dispositifs sont peints avec des couleurs vives et placés à des endroits facilement visibles. En outre, les instructions sont transcrites de sorte à être simples à comprendre. Le but est de les rendre utiles à un maximum de personnes et de limiter au mieux les risques encourus.

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Quentin

Quentin

Dès que j'ai troqué mon porte-monnaie d'enfance contre ma première calculette, j'ai compris que les numéros et moi, c'était une grande histoire d'amour. Écrire sur la finance ? C'est comme demander à un gourmet s'il souhaite un peu de truffe sur son risotto ! Plonger dans le monde trépidant du business, décrypter les tendances et écrire pour un public curieux, c'est un peu ma recette secrète pour une vie épicée. Ici, je fusionne humour et sérieux pour vous servir des articles croustillants. Avec moi, les bilans comptables prennent des airs de romans à suspens. Vous doutez ? Lisez et laissez-vous surprendre !

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